sami skander

Avocat en droit de la famille

Sami Skander : Votre avocat en droit de la famille en deux mots

Quelle que soit la situation à laquelle vous êtes confrontés en tant que famille ainsi que la difficulté que vous rencontrez, Maître SKANDER met à votre entière disposition toutes ses compétences et son savoir-faire en matière de droit de la famille.

Fort de ses 20 ans d’expérience dans le domaine juridique, votre avocat sera votre meilleur allié pour préserver vos droits et faire valoir vos intérêts. C’est la meilleure personne qui saura vous écouter afin d’analyser votre situation, vous expliquer les détails relatifs à votre cas et prendre les décisions nécessaires afin mettre toutes les chances de vos côtés.

Pourquoi choisir notre cabinet d’avocat ?

Malheureusement, personne n’est à l’abri de problèmes juridiques qui nécessitent l’intervention d’un professionnel du droit.
ça peut survenir de partout et sans même que vous en soyez conscient. 

En cas de problème juridique, ne pensez surtout pas à prendre vos décisions tout seul, passez plutôt par un professionnel compétent et capable de vous aider à vous défendre et à faire valoir vos droits. 

Ce n’est pas au hasard que le cabinet de Maître Skander compte parmi les cabinets les plus sollicités en droit de la famille. Sérieux, professionnalisme et Ponctualité sont les maîtres-mots de son activité juridique. 

Sérieux

Que votre affaire soit simple ou complexe, Maître Skander étudie convenablement votre dossier pour prendre les bonnes décisions qui vous permettront de mettre toutes les chances de vos côtés pour un gain de cause garanti. Dans notre cabinet, aucune affaire n’est considérée comme banale ou négligeable. Nous accordons la même importance à toutes les demandes de nos clients.

Professionnalisme

La qualité de traitement de votre dossier varie d’un cabinet à un autre et d’un professionnel à un autre. Dans le cabinet de Maître Skander, nous adoptons une stratégie claire. Votre avocat vous écoute d’abord, puis étudie votre dossier pour prendre la bonne décision sur de bonnes bases et en toute connaissance de cause. Il vous expliquera les différentes démarches à entreprendre pour mettre les chances de vos côtés.

Ponctualité

Dans le cabinet de Maître Skander, il n’est en aucun cas possible de dépasser les deadlines fixées avec vous. Une fois votre dossier préparé, vous aurez écrites noir sur blanc toutes les informations nécessaires. Les dates des rendez-vous, des consultations et des tribunaux vous seront également communiquées et jamais dépassées.  C’est le point fort de notre cabinet.

Notre savoir-faire

Autorité parentale

Violences conjugales

Prestation compensatoire

Partage
des biens

Couple hors mariage


Divorce

Droit des grands-parents


Adoption

Tout savoir sur la procédure de divorce

Le divorce par consentement mutuel

Le divorce par consentement mutuel peut être compris comme la procédure légale par laquelle le mari et la femme conviennent mutuellement de divorcer et, par conséquent, souhaitent mettre fin au mariage selon les termes convenus. 

Le divorce pour altération définitive du lien conjugal

Il s’agit d’un divorce en raison d'un changement définitif des conditions de vie conjugale. L’un des époux peut demander ce type de divorce si la communauté de vie a cessé depuis au moins deux ans. Le consentement des deux conjoints n'est pas nécessaire pour ce divorce.

Le divorce par acte d’avocat

Dans le cadre de cette forme de divorce, les époux n’ont pas l’obligation de préciser les raisons de leur divorce dans la convention. Les frais de ce divorce seront partagés par moitié entre les époux. Une aide juridictionnelle est possible si l’un des époux rencontre des difficultés pour les payer.

Le divorce pour acceptation du principe de la rupture

Il y a rupture irrémédiable du mariage lorsque l'un des conjoints ou les deux ne peuvent ou ne veulent pas cohabiter et qu'il n'y a aucune perspective de réconciliation.

Le divorce pour faute

Le divorce pour faute peut être accordé lorsqu'un conjoint prouve que l'autre a commis une faute qui a entraîné l'échec du mariage

Les conséquences de la séparation du couple

Le droit d’hébergement et de visite

Le Juge aux affaires matrimoniales attribue la garde des enfants soit à la mère, soit au père, soit exceptionnellement à un tiers, si cela est dans l’intérêt de l’enfant. Les juges ont de plus en plus tendance à accorder la garde à la mère et au père conjointement, à condition que les deux parties soient d’accord. Si le conjoint n’a pas obtenu la garde des enfants, il a le droit de recevoir des visites des enfants à son domicile.

La pension alimentaire et prestation complémentaire

Le conjoint qui n’a pas obtenu la garde des enfants conserve la responsabilité de l’entretien et de l’éducation des enfants, et est tenu de verser une pension alimentaire pour les enfants et/ou une pension alimentaire. Le montant de ces obligations alimentaires peut être augmenté. Cela dépend du coût de la vie, de la demande des parties ou selon l’instruction du juge. Le montant de cette pension alimentaire peut être modifié.

Le partage du patrimoine du couple

Lorsqu’un couple divorce, la valeur des biens familiaux est généralement partagée entre les conjoints. La loi fournit une liste des biens inclus dans le patrimoine familial. Si vos biens ne sont pas mentionnés dans cette liste, ils ne sont pas considérés comme des biens familiaux. Votre régime matrimonial détermine ce qu’il advient des biens qui ne font pas partie du patrimoine familial.

Pour en savoir plus sur le droit du divorce

Couple hors mariage

Même si vous n’êtes pas mariés, il arrive que vous ayez, pour une raison ou une autre, des problèmes et des difficultés qui nécessitent une intervention juridique. Dans ce cas, n’oubliez pas que choisir le bon avocat fera la différence. Le bon avocat est celui qui vous accorde le temps nécessaire et adéquat pour parler de votre problème et qui vous explique tous les détails relatifs à votre affaire tout en préparant les arguments nécessaires pour vous défendre devant les juridictions appropriées. 

Le concubinage

Le concubinage est une union entre deux personnes, caractérisée par une vie commune présentant un caractère de stabilité et de continuité.

Certaines mairies délivrent des certificats de concubinage qui n’ont cependant aucune valeur juridique.

Contrairement aux époux ou même aux pacsés, il n’existe aucune obligation de contribution aux charges du ménage.

Les concubins sont considérés comme deux personnes étrangères, ils n’ont aucune vocation successorale entre eux.

A la dissolution du lien conjugal, il n’y a pas de compensation financière.

Cependant, dans le cas où le concubin abandonne sa compagne sans ressources, la jurisprudence a admis dans certains cas, l’existence d’une obligation naturelle à la charge du concubin, qui se mue en obligation civile, (par exemple, après la rupture, le fait de verser des sommes d’argent à la concubine peut être analysé comme une obligation morale).

Maître Skander, Avocat en droit de la famille, vous conseille et vous assiste dans le cadre d’une rupture de PACS et de concubinage.

Le pacs

Certains conjoints ne veulent pas ou ne peuvent pas s’engager dans les liens du mariage, ils veulent alors établir un PACS, ou veulent rompre celui-ci.

Le PACS est un contrat que l’on oppose au mariage, institution.

S’agissant d’un contrat, les pacsés peuvent prévoir des règles qu’ils veulent appliquer.

La dissolution du PACS peut résulter soit d’un commun accord, soit être dénoncée de manière unilatérale.

Ainsi, le partenaire qui décide de rompre unilatéralement le PACS le fera signifier à l’autre par voie d’huissier de justice.

L’autorité parentale est un terme légal qui concerne l’ensemble des droits et devoirs que les parents ont à l’égard de leurs enfants mineurs. L’autorité parentale définit les relations légale et pratique entre un parent ou tuteur et l’enfant confié à sa garde.

Si ces droits vous échappent et que vous souhaitez mieux vous renseigner sur ses spécificités, passer par le cabinet de Maître Skander sera la meilleure décision que vous puissiez faire, vu que ce professionnel compte parmi les spécialistes en droit de la famille les plus reconnus. Il saura vous expliquer tous les détails relatifs à votre demande. Il pourra également vous conseiller et vous défendre en cas de besoin.

Suite à une séparation, les situations respectives des époux peuvent présenter de nombreuses disparités. Afin de pallier à ces déséquilibres, il existe la prestation compensatoire versée par un époux à son ex-conjoint.

Les grands-parents ont un droit de visite et d’hébergement des petits-enfants, mais aussi le droit d’échanger une correspondance avec eux et de participer à leur éducation dans la mesure où ils ne se substituent pas aux parents. Ces droits restent valables : en cas de divorce des parents.

Si vous êtes un grand-parent dont le de voir ou de garder vos petits enfants, Maître Skander vous défend et vous aide à faire valoir vos droits.

Tout père et toute mère doit nourrir, vêtir, loger et élever son enfant, même majeur. Cette obligation s’applique également pour les enfants adoptés, légitimes ou nés hors mariage s’ils ont été reconnus. Le montant de la pension alimentaire est fixé soit à l’amiable, soit par le juge. Une partie des sommes versées peut être déduite de vos impôts sur le revenu.

L’un des principaux domaines du droit de la famille français est la protection et la gestion d’un patrimoine. Les mariages, qui constituent une part importante du droit de la famille, ont des conséquences sur le partage d’un patrimoine et, par la suite, sur l’héritage de ce dernier. Il est nécessaire de prendre des mesures pour vous protéger, vous et vos biens, et faire en sorte que votre patrimoine reste intact et continue à être géré comme vous le souhaitez. 

Cela implique de procéder à des ajustements de votre plan de succession et d’autres aspects de la gestion de votre patrimoine afin de vous protéger contre les changements indésirables qui peuvent résulter d’un mariage ou d’autres changements de circonstances.

Sami Skander, votre avocat en droit de la famille

La procédure d’adoption

Sauf dans le cas d’une adoption intrafamiliale (adoption de l’enfant du conjoint, d’un neveu, etc.), les personnes qui souhaitent adopter en France doivent obtenir un agrément de l’Aide sociale à l’enfance (ASE), sous l’autorité du président du conseil général de leur département, après avis d’une commission d’agrément. 

Une évaluation sociale et psychologique confirmera que les conditions d’accueil offertes par l’adoptant correspondent aux besoins et à l’intérêt des enfants adoptés. 

Par ailleurs, si le projet d’adoption concerne un enfant vivant à l’étranger, le demandeur doit également remplir les conditions légales fixées par le pays d’origine de l’enfant en plus des règles nationales françaises. Certains pays n’autorisent pas l’adoption si le candidat a déjà un enfant biologique.

Une fois le consentement obtenu, les futurs adoptants doivent déposer une requête en vue d’adopter l’enfant auprès du tribunal de grande instance de leur lieu de résidence. La décision est inscrite sur le registre d’état civil du lieu de naissance de l’enfant et est mentionnée sur le livret de famille. 

Afin de réussir les procédures d’adoption, il est généralement préférable de passer par un avocat compétent pour connaître les démarches à entreprendre, les étapes à savoir et se protéger de tout éventuel dépassement. 

Violences conjugales 

La violence conjugale est la violence exercée par un des conjoints sur l’autre, au sein d’un couple, s’inscrivant dans un rapport de domination et se distinguant des disputes conjugales entre individus égaux.

Dans ce cas de dépassement de la loi, il est fortement conseillé de faire appel à un avocat compétent en droit de la famille pour vous défendre de la meilleure façon et mettre les chances de vos côtés.